Thank God for mental illness
Il n y a plus grand chose de personnel ici. Ça tombe bien, ma vie est elle-même devenue très impersonnelle. Il y a des jours, des semaines. Un peu comme tous ces bars tabac qui ne bougent pas. regarde les notes d’il y a un mois. Deux mois. Je ne sais même pas pourquoi je reviens ici, écrire quoi que ce soit. Comme cette chanson du Brian Jonestown Massacre, Talk – Action = shit. Sweetie, on tourne en rond.
En fait, je voulais absolument écrire quelque chose sur Inland Empire. Je ne me souviens de rien hormis les textures, quelle importance d’ailleurs ? je prends plus ce film comme une grande toile délavée, une toile beaucoup trop grande, où l’on aurait mis trop d’eau, et où tout ce serait mélangé. Les lignes narratives se sont effacées, le script, les dialogues, tout, alors tout le monde bricole à droite à gauche. un peu comme ces interminables plages sonores, le genre Dälek, où le rythme a été dilué : il n’y a qu’un espèce de désert sonore qui pourrait s’arrêter n’importe où. ce son là a une couleur, du moins une texture. Inland Empire est une texture tout à fait brute et oppressante. voila c'est fait.
En fait, je voulais absolument écrire quelque chose sur Inland Empire. Je ne me souviens de rien hormis les textures, quelle importance d’ailleurs ? je prends plus ce film comme une grande toile délavée, une toile beaucoup trop grande, où l’on aurait mis trop d’eau, et où tout ce serait mélangé. Les lignes narratives se sont effacées, le script, les dialogues, tout, alors tout le monde bricole à droite à gauche. un peu comme ces interminables plages sonores, le genre Dälek, où le rythme a été dilué : il n’y a qu’un espèce de désert sonore qui pourrait s’arrêter n’importe où. ce son là a une couleur, du moins une texture. Inland Empire est une texture tout à fait brute et oppressante. voila c'est fait.
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